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Lettre d’informations presse – Mars 2016 |
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Exposition TATOUEURS, TATOUÉS au Royal Ontario Museum de Toronto
Du samedi 02/04 au mercredi 14/09/16
Après avoir accueilli 700 000 visiteurs l’an dernier au musée du quai Branly,
l’exposition débute sa tournée internationale au Canada.
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Agenda
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JE SUIS DEVENU CASTOR, lecture performance par Jerome Rothenberg et Sara Darmayan, dans le cadre du 18ème Printemps des Poètes
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SONY LABOU TANSI POÈMES, rencontre avec Nicolas Martin-Granel, Claire Riffard,
co-auteurs de l’ouvrage, et Patrice Yengo, anthropologue et traducteur des poèmes en kikongo, dans le cadre du 18ème Printemps des Poètes
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DAKAR 66, par Sarah Frioux-Salgas, Dominique Malaquais et Cédric Vincent,
commissaires de l’exposition DAKAR 66, Chroniques d’un festival panafricain, Eloi Ficquet, historien et Romuald Fonkoua, professeur de littérature française et africaine (Paris 4 – Sorbonne)
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CONCERT
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PURA FÉ
Native blues, États-Unis
Dimanche 13/03/16, 17h
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Indienne tuscarora, artiste et militante, Pura Fé restitue dans ses morceaux folk, blues, soul, et la musique traditionnelle des Indiens de Caroline du Nord.
C’est par sa voix puissante et suave, accompagnée de compositions qui s’offrent des détours par le rock ou le jazz, que Pura Fé convainc de la connexion naturelle entre native music et blues américain.
Elle aime rappeler que le blues plonge ses racines dans les pulsations des percussions indiennes et que les Native Americans ont toujours fait partie de l’évolution de la musique américaine :
« Dans le jazz, le blues ou le rock’n’roll, nous sommes là ! Même Jimmy Hendrix et Duke Ellington avaient du sang indien... mais personne ne le sait ! Les deux cultures sont intimement liées.»
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UNIVERSITÉ POPULAIRE
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GRANDS TÉMOINS
Christian Jambet, philosophe et orientaliste
Vendredi 18/03/16, 18h30
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Christian Jambet, né en 1949 à Alger, agrégé de philosophie, est directeur d'études à l'École pratique des hautes études (sciences religieuses) où il occupe la chaire « Philosophie en Islam ».
Auteur d'une quinzaine de livres et de centaines d’articles, il est considéré comme l'un des spécialistes majeurs de l'Islam. Il a fondé la collection « Islam spirituel » aux éditions Verdier et poursuit depuis près de quarante ans une recherche qui allie la philosophie au souci de penser les fondements historiques de l'évolution des diverses formes de la religion islamique.
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ÉVÉNEMENTS
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VISITES CONTÉES EN FAMILLE
Tout au long de l’année
Plateau des collections et espaces d’expositions temporaires
Afrique, Asie, Océanie, Amériques... Du coeur du Sahara à la pointe du Cap de Bonne Espérance, du pôle nord au pôle sud, de l'océan Atlantique à l'océan Indien, et d’île en île sur les flots du Pacifique, les visites contées permettent de parcourir le monde entier à travers les collections permanentes du musée et les expositions temporaires, de façon ludique et animée.
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LA VIE AU MUSÉE
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RESTAURATION D'UNE OEUVRE À DÉCOUVRIR DANS L'EXPOSITION JACQUES CHIRAC OU LE DIALOGUE DES CULTURES
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Dans le cadre de l’exposition JACQUES CHIRAC OU LE DIALOGUE DES CULTURES, une campagne de restauration permet à quatre œuvres majeures dont deux coiffes de plumes, un tambour en bois et une statue en céramique, de retrouver toute leur splendeur grâce au savoir-faire des restaurateurs du musée.
Déjà présentée en 1989 au sein de l’exposition « Magiciens de la terre » au centre Pompidou, la statue mi femme – mi monstre, sculpture de Seni Camara dont le travail reste atypique et original en Casamance (artiste sénégalaise née en 1945), constituée de céramique chamotée à gros grains, présente une pâte rouge et friable, dont une des jambes est brisée à sa jonction au corps. Tout l’enjeu des équipes de restauration du musée consiste en un traitement de consolidation de la pâte et un collage de la jambe désolidarisée. Une ultime retouche consistera en un micro-comblement de la ligne de collage afin de rendre l’opération quasi insoupçonnable. Enfin, la technique de soclage de l’œuvre présentée verticalement évitera de faire peser le poids important de la pièce sur la zone de cassure.
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2006-2016 : HISTOIRES DU MUSÉE
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MARS 2006 : INSTALLATION DU MÂT TOTÉMIQUE KAIGET DANS LE HALL D’ACCUEIL
L’installation du mât totémique Kaiget dans le hall d’accueil du musée fut une incroyable aventure ! Pour acheminer cette oeuvre haute de 14 mètres jusqu’au musée, les équipes ont utilisé un semi-remorque à plateau équipé d’une grue. Il a fallu deux journées pour l’installer dans le hall, avec un soclage sur-mesure.
Le mât totémique Kaiget provient de l’ancienne collection du peintre surréaliste Kurt Seligmann. Provenant de Colombie-Britannique, datant de la fin du 20e siècle, ce mât totem de cèdre rouge est sculpté en bas-relief et en ronde-bosse. Appelé du nom de son donateur, le mât Kaiget Seligmann est l’emblème du clan de la
« Maison aux yeux multiples ». Il se trouvait en face de la maison du chef Gédem Skanish et permettait d’identifier le rang et le clan auxquels il appartenait.
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PROGRAMMATION 2016
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BROCHURE DU MUSÉE
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