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Agenda
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Jusqu’au dimanche 17/01/16
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EXPOSITION // ESTHÉTIQUES DE L’AMOUR, Sibérie extrême-orientale
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Jusqu’au dimanche 17/01/16
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EXPOSITION // LE COMTE DES NUAGES, MASANAO ABE FACE AU MONT FUJI
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Jusqu’au dimanche 17/01/16
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ACCROCHAGE // CE QUI CHANGE, CE QUI SE TRANSFORME, CE QUI RESTE. Les Résidences de Photoquai de 2012 à 2014
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Jusqu’au dimanche 31/01/16
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EXPOSITION // SEPIK, Arts de Papouasie-Nouvelle-Guinée
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Jusqu’au dimanche 20/03/16
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Jusqu’au dimanche 03/04/16
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EXPOSITION HORS LES MURS // FLEUVE CONGO, Arts d’Afrique centrale à l’Institut national d’anthropologie et d’histoire de Mexico (Mexique)
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Du jeudi 21/01 au dimanche 24/04/16
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ACCROCHAGE // DESSINS DU PACIFIQUE DE CONWAY SHIPLEY
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Du mardi 26/01 au dimanche 13/11/16
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UNIVERSITÉ POPULAIRE // L’ENFANCE : Naître ne suffit pas… Fonction des rites de naissance, par Tobie Nathan, psychologue et écrivain
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RENCONTRE // LES DESTRUCTIONS DE PATRIMOINE EN TEMPS DE CONFLIT – Le rôle des archéologues et les moyens technologiques, par Michel al-Maqdissi, archéologue et chef de projet au musée du Louvre, Ali Cheikhmous, archéologue, et Adam Love, créateur de l’atelier multidisciplinaire Factum Arte à Madrid en 2000
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UNIVERSITÉ POPULAIRE // GRANDS TÉMOINS – Jean-Louis Servan-Schreiber, journaliste et patron de presse
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CONCERT // MOHAMED ABOZEKRY ET HEEJAZ – Oud cosmopolite / Égypte – France
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RENCONTRE // LES DESTRUCTIONS DE PATRIMOINE EN TEMPS DE CONFLIT – La question de l’effectivité des protections juridique et institutionnelle, par Nada Al-Hassan, responsable de la section des États arabes au centre du Patrimoine mondial de l’UNESCO, Vincent Négri, chercheur CNRS à l’Institut des Sciences sociales du Politique (ENS Cachan), et Caecilia Pieri, historienne et ancienne responsable de l’Observatoire urbain du Proche-Orient
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EXPOSITION
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PERSONA
Étrangement humain
Du mardi 26/01 au dimanche 13/11/16
Mezzanine Ouest
Les avancées technologiques des dernières décennies ont donné à nos sociétés occidentales un
scénario digne des plus grands films de science-fiction. Nombreux sont les objets qui ont un statut
plus proche de celui d’une personne ou d’une créature que d’un simple objet. Œuvres d’art –
occidental ou non occidental, populaire ou contemporain –, ou produits high tech – robots,
machines, etc. – se voient régulièrement attribuer, dans leur utilisation, des capacités d’action
insoupçonnées, qui en font des quasi-personnes.
Comment l’homme instaure-t-il une relation insolite ou intime avec les objets ? Comment l’inanimé
devient-il animé ? Que cela révèle-t-il de nous, de notre société ?
À l’heure de ces grands débats, où notre conception de l’humain vacille et que ses frontières ne
cessent d’être repoussées, le musée du quai Branly propose une exposition qui permet de
comprendre ce transfert qui s’opère, dans toutes les cultures, entre l’humain et le non-
humain, et la relation particulière et personnalisée qui les lie. À travers 230 pièces : statues,
sculptures, installations, peintures, robots, automates, extraits de films, l’exposition fait la lumière
sur ces « étranges humains » et invite le visiteur à une expérience de la rencontre.
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UNIVERSITE POPULAIRE
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GRANDS TÉMOINS
Jean-Louis Servan-Schreiber, journaliste et patron de presse
Vendredi 15/01/16, 18h30
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Essayiste et journaliste né dans une famille où la presse et la politique étaient omniprésentes,
Jean-Louis Servan-Schreiber a fondé ou animé de nombreux titres dont Les Échos, L’Express,
L’Expansion, Psychologies magazine et, plus récemment, le bimestriel Clés. Mélomane, il a créé
Radio Classique, et préside les activités en France de l’ONG Human Rights Watch.
Jean-Louis Servan-Schreiber se veut lucide mais optimiste sur le monde contemporain encore riche,
à ses yeux de progrès civilisateurs. Intéressé par l’étude du comportement humain,
l’accélération des sociétés actuelles et la condition humaine, il est l’auteur d’une quinzaine de
livres dont : L’Art du temps, À mi-vie, Le Retour du courage, Vivre content, Aimer (quand même)
le XXIe siècle. En 2015, avec C’est la vie !, il aborde une philosophie de notre existence réaliste
mais sereine.
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LE MUSÉE À L’INTERNATIONAL
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FLEUVE CONGO
Arts d’Afrique centrale
Jusqu’au dimanche 03/04/16
Institut national d’anthropologie et d’histoire de Mexico (Mexique)
Le musée du quai Branly et l’Institut national d’anthropologie et d’histoire de Mexico prolongent leur collaboration avec la présentation à Mexico de l’exposition FLEUVE CONGO, Arts d’Afrique centrale.
Véritable voyage initiatique menant le visiteur des forêts du Nord aux savanes du Sud,
l’exposition démontre les liens existant entre les œuvres produites dans les régions bordant le
majestueux fleuve Congo, par diverses populations des langues bantoues. Derrière la variété des
masques et sculptures fang, hemba, kwélé ou kota, l’exposition met en lumière les œuvres
majeures de l’Afrique centrale dans leurs conceptions, leurs structures et les liens artistiques
qui les rapprochent.
Présentée à Paris en 2010 puis en Asie en 2011 et 2013, l’exposition a été enrichie, pour son
étape mexicaine, de deux sections relatives à la musique et au graphisme africain. Les 345
œuvres réunies – dont plusieurs jamais exposées – en font une des plus importantes expositions
présentées par le musée du quai Branly à l’étranger.
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RENCONTRE
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LES DESTRUCTIONS DE PATRIMOINE EN TEMPS DE CONFLIT
Le rôle des archéologues et les moyens technologiques
Jeudi 14/01/16, 19h
La question de l’effectivité des protections juridique et institutionnelle
Samedi 30/01/16, 17h
Salon de lecture Jacques Kerchache
En accès libre dans la limite des places disponibles
De la Syrie à l'Irak, les destructions d’œuvres d’art et de sites archéologiques millénaires se
multiplient, accompagnées de fouilles clandestines, de pillages et de saccages. Les questions de
l’iconoclasme, du vandalisme, de la censure deviennent de plus en plus centrales dans les
recherches en histoire de l’art, histoire sociale de l’art et anthropologie.
Du 1er janvier au 30 avril 2016, le salon de lecture Jacques Kerchache explore cette
problématique par le biais de rencontres avec des historiens de l’art, des anthropologues, des
conservateurs et des experts, illustrées par de nombreux ouvrages sur le sujet en libre accès et
des documents audiovisuels à consulter sur place.
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CONCERT
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MOHAMED ABOZEKRY ET HEEJAZ
Oud cosmopolite / Égypte - France
Dimanche 24/01/16, 17h
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Le jeune virtuose égyptien du oud, Mohamed Abozekry, module les musiques multiséculaires de
son Orient natal en leur insufflant l’inventivité du jazz et l’énergie du rock. Élève de Nasser
Shamma, star internationale du oud, Mohamed Abozekry est consacré meilleur oudiste du monde
arabe à 18 ans dans un concours international à Damas. Ses études sur la musique occidentale à
l’Université de Lyon, sa curiosité et ses goûts éclectiques l’ont aidé à forger son propre style : il
sort le luth arabe de son répertoire d’origine, le mêle à d’autres musiques du monde (tzigane,
indienne) et à d’autres influences (jazz, blues, rock), y injecte du groove, du flamenco et des
reflets latins...
Dans Ring Road, le deuxième album composé avec le quartet Heejaz, son amour pour John
Coltrane et Astor Piazzolla se lit en filigrane, ainsi que son désir de pousser la tradition dans des
horizons imprégnés des sons et du bruissement du monde.
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LA VIE AU MUSÉE
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LE ROBOT BERENSON À DÉCOUVRIR DANS L’EXPOSITION PERSONA, ÉTRANGEMENT HUMAIN
Le robot Berenson est un outil de recherche
permettant à la fois d'explorer la robotique comme outil de médiation en contexte muséal et
comme outil de modélisation du sens esthétique. Il questionne le regard porté sur les collections
du musée tout en permettant de travailler à l'élaboration d'un modèle neuronal de l'émergence du
sens esthétique.
Ce robot est également un outil pour l'ethnographie. Comme c'est souvent le cas dès qu'il s'agit
d'interaction humain-robot, la présence d'un humanoïde au musée suscite une grande curiosité de la
part des visiteurs. Pour documenter les réactions que provoque sa présence, le robot Berenson a
été doté d'appareils lui permettant d'enregistrer ce qui se passe autour de lui.
Après deux passages au musée du quai Branly en 2013 et 2014, le robot Berenson est de retour pour
de nouvelles expérimentations, à l’occasion de l’exposition PERSONA, Étrangement humain.
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2006-2016 : HISTOIRES DU MUSÉE
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JANVIER 2006 : LANCEMENT DU GROUPEMENT DE RECHERCHE INTERNATIONAL (GDRI)
Dès sa création, le musée du quai Branly a mis en place un réseau de recherche scientifique
interdisciplinaire de haut niveau, consacré au développement et à la diffusion des études
anthropologique et historique sur les arts. Lieu de production et de diffusion de la connaissance
scientifique, le musée souhaitait relever un défi d’envergure : rapprocher le monde muséal et
celui de l’université et de la recherche, et donner une nouvelle vie à la relation entre musées et
scientifiques.
La première réunion scientifique du Groupement de Recherche International (GDRI) « Anthropologie
et histoire des arts », s’est tenue au musée du quai Branly le 24 janvier 2006, réunissant des
partenaires internationaux : le CNRS, l’EHESS, l’Université Paris X, l’Université Paris I, l’INHA, le
Collège de France, l’École Normale Supérieure, le Ministère de la Culture et de la Communication,
le Sainsbury Research Unit (Université d’East Anglia, Norwich, GB), le UCLA (Department of French
& Francophone Studies, USA), l’Universidade Federal do Rio de Janeiro (Brésil), le Staatliches
Museum für Volkerkunde (Allemagne), l’INAH (Mexique).
Cette première réunion a permis de faire émerger les grandes orientations de recherche du
musée du quai Branly : « art contemporain et mondialisation », « culture matérielle et
artification », « art, rituel et cognition ».
Depuis 2006, le GDRI a permis de soutenir les programmes de recherche, de former des équipes
porteuses de projets, de favoriser la mobilité des chercheurs des institutions partenaires, et
d’organiser des manifestations scientifiques permettant la production et la diffusion des
connaissances.
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PROGRAMMATION 2016
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